Le 26 mai 2019, en Grèce, comme dans les autres pays membres de l’UE, il y aura les élections pour le parlement européen, ainsi que les élections locales et régionales.

Les membres du KKE et de la KNE, ses amis, donnent de toutes leurs forces la lutte pour que le message « Un KKE fort partout » aille le plus loin possible, dans toutes les urnes. Avec eux, des centaines de personnes affiliées aux listes du « Rassemblement Populaire », des listes soutenues par le KKE aux élections locales, donnent la lutte, y compris assez de candidats provenant de SYRIZA, du PASOK, qui  s’associent au KKE ces derniers temps.

Le point essentiel que le KKE pose au peuple est la nécessité de condamner aux élections la route antipopulaire de l’UE, du capital et de ses gouvernements, qui est responsable de l’écrasement de la vie et des droits du peuple.

- Le KKE appelle le peuple à condamner la politique antipopulaire du gouvernement de SYRIZA, qui, avec le soutien de la ND et d’autres forces politiques de la bourgeoisie, est responsable de l’engagement du pays aux antagonismes impérialistes, au nom du « développement » et de la promotion géostratégique. Le KKE a souligné et a averti à temps que SYRIZA, en tant que la social-démocratie nouvelle, suivrait un chemin antipopulaire inévitable, du moment où il s'est engagé à gérer le système capitaliste et soutenir et essayer de blanchir l’UE et l’OTAN, les Etats-Unis et Trump, qui est « diaboliquement bon », comme l’a décrit le premier ministre, A. Tsipras.

- Le KKE appelle à rejeter la soi-disant « voie à sens unique » de l’UE, parce que l’UE, qui est une union du capital, ne peut pas être améliorée en faveur des peuples, elle ne peut pas devenir une union pour les peuples, elle ne peut pas être démocratisée et humanisée, elle ne peut pas être transformée à l’Europe des travailleurs. Les antagonismes intenses qui sont aussi aggravés avec le retrait (Brexit) de la bourgeoisie de la Grande Bretagne de l’UE, dont le peuple paiera le coût, n’importe quelle soit sa conclusion. Les guerres commerciales, les droits, les sanctions sont la preuve de l’aggravation des contradictions qui font rapprocher des conflits armés éventuels. Les préparations de guerre de l’UE, sa collaboration étroite avec l’OTAN, sa militarisation intensifiant, y compris avec des mécanismes comme  la CSP, le confirment.

Le KKE révèle au peuple que l’UE, les gouvernements et les partis du capital promeuvent ledit « Socle européen des droits sociaux », qui légitime les conditions de travail les plus barbares, selon les objectifs de la surveillance continue, des mémorandums continus de l’UE, qui sont applicables dans tous les pays de l’UE. L’UE étouffe les besoins ouvriers et populaires et établit la ligne des « droits minimaux » pour les plus pauvres, en étendant la commercialisation et la soumission de la santé, de l’éducation et de la sécurité sociale aux groupes d’entreprises.

Le KKE rejette la politique qui piège le peuple dans des lignes séparatives fausses, qui sont formées de nouveau avant les élections, avec des rôles distribués aux partis bourgeois : SYRIZA « de gauche », la ND « de droite », KINAL/PASOK « du centre », l’« Aube Dorée » fasciste. Il rejette, entre autres, « l’antifascisme » faux et la contradiction fausse entre les forces « pro-européennes / progressives » et les forces nationalistes / conservatives. Parce que, tous ensembles, ils servent le vrai rival du peuple, qui est la rentabilité des monopoles, les plans impérialistes dangereux de l’OTAN.

Seulement avec un KKE Fort, le peuple puisse isoler « l’Aube Dorée » nazi et criminelle, renforcer la lutte contre le racisme, le fascisme et l’extrême droite, l’anticommunisme. Ces forces réactionnaires sont nourries par la politique antipopulaire de l’UE et le système capitaliste que l’UE et ses partis servent, comme ils servent l’identification non historique du communisme au fascisme.   

Un OUI fort au KKE signifie un NON fort à l’UE du capital, des crises, de la pauvreté et des guerres. OUI au KKE signifie OUI à la lutte pour le désengagement de l’UE, pour la Grèce et l’Europe du socialisme.

Dans cette direction, le KKE a signé un « appel » avec des dizaines d’autres partis communistes et ouvriers de l’Europe.